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Le crapaud - Jeune public

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Un projet pluriel pour tout public à partir de 7 ans
D'après Le Crapaud d'Andersen


Le Crapaud... Le conte est pour nous une fenêtre vers l'imaginaire des enfants et des adultes. Parce qu'il puise dans l'inconscient collectif, il est une ouverture des possibles, une terre fertile à la création.

« Les contes ne parlent pas du monde de l'enfance, mais de l'enfance du monde. En eux sont l'innocence, la vigueur, (…) et l'absence de doute des premiers printemps de la vie. » Henri Gougaud

Dans les contes d'Andersen, se cache souvent, derrière celui qui est différent, malhabile ou laid, un trésor qu'il serait dommage de ne pas voir. Andersen écrit, après avoir hésité entre danse, musique et théâtre.

Par cette pièce nous désirons tisser autour de la matière traditionnelle du conte une forme artistique contemporaine destinée au tout-public.

S'enrichir du patrimoine pour l'interpréter.
Metteur en scène et danseuse viennent toutes deux d’une formation double,
artistique et universitaire. Riches de leur expérience d’ateliers artistiques en institution, elles proposent un spectacle qui s’adapte à des lieux et publics variés.
Le Crapaud a été accueilli en résidence au centre d'animation René Goscinny puis à la Maison Populaire de Montreuil; créé grâce au concours du centre d'animation René Goscinny et soutenu par Paris Jeunes Talents.

Il a été joué  en février 2015 à la Ferronnerie, au centre d'animation Montgallet, 75012 Paris; précédemment à la Maison Populaire de Montreuil et programmé à la Comédie Nation de mars à mai 2014. 


 La pièce
D’abord, deux personnages; sur scène. Un conteur et une danseuse.

 
Une petite crapaude, habitant au fond d'un puits, ne rêve qu'à une chose, voir la lumière du soleil. Contrevenir à l'ordre de sa grand-mère et sortir du puits.. "Aller toujours plus haut"..




Mise en scène / Léa Alazraki
Dans « Le crapaud », Andersen porte un regard à la fois tendre et ironique sur les mouvements intimes de la petite crapaude face aux péripéties de la vie.
La mise en scène souligne alors ce double mouvement ; la volonté du
personnage d’aller toujours plus haut, et son désir de « se noyer dans la
lumière ».
Le dialogue entre danse et théâtre, entre musique et lumière vient soutenir les
désirs, les tourments et les évènements qui heurtent la petite crapaude.
La scène devient le reflet d’un voyage coloré et distordu par le regard d’un personnage qui découvre pour la première fois le monde.




Univers pluriel
L’envie que le conte trouve un écho dans la danse contemporaine et la musique est devenue une évidence.
Les mots prennent sens plus intimement lorsqu’ils accrochent le corps de la danseuse.  Les parties dansées traduisent les émotions du personnage ou des univers qu'elle traverse. 
La musique, composée pour le spectacle par Romain Nègre, apporte des sonorités rock, aériennes et énergiques et accompagne le voyage et les émotions du personnage.
La scénographie a été créée en lien étroit avec le spectacle en résidence, par le collectif.


Interaction
Le spectacle est expérimenté comme un lieu vivant et en mouvement.
Nous pouvons proposer aux enfants et adultes, à la suite d'une représentation, un atelier :
temps d'initiation à la danse contemporaine et au mouvement, il favorise la connexion entre l'imaginaire et son expression par le mouvement, par l'exploration progressive des matières et des sensations provoquées par celles-ci. Transformation d'une matière à une autre, parcours et traversées en groupes sont au programme. « C'est la sensation intérieure qui provoque le mouvement juste».

Publics variés :
« Le crapaud » est destiné à se transformer selon les structures d’accueil. Toujours ouvert et mouvant, il est voué à voyager entre théâtres, médiathèques, centre d’animation, centres de loisirs, hôpitaux pour enfants, comités d'entreprise.





L'équipe du Crapaud

Léa Alazraki
 
Après avoir suivi une formation d'art dramatique, Léa Alazraki intègre une troupe de théâtre universitaire et se forme à la psychologie clinique. Jusqu’à l’obtention de son diplôme, elle jouera dans plusieurs spectacles notamment à Avignon Off, interprétant des textes de Carlo Goldoni, B.M.Koltès ou Marie Ndiaye,
jouant dans une création collective et dans une comédie musicale. Après ses études, elle intègre la Compagnie Platok avec laquelle elle crée et joue « On Air ». Elle continue à se former à travers des stages (Théâtre A, École du Jeu, Chantiers Nomades) et met en scène des pièces avec des patients hospitalisés en psychiatrie. Aujourd’hui, elle met en scène Le Crapaud, chante dans le groupe de chanson française rock Curieuse et crée avec Prunelle Gillet le Collectif Freyja.
http://www.lea-alazraki.book.fr/

Prunelle Gillet
A suivi un cursus universitaire en sciences humaines tout en explorant la pratique artistique corporelle [cirque, danse, clown, théâtre]  et a dès lors choisi de faire de l'art son engagement personnel et social.
S'est formée en danse au centre James Carles, et aux méthodes corporelles somatiques et d'improvisation (BMC, danse-contact, danse-thérapie) à Free Dance Song et à Canal Danse.
Elle danse au sein de plusieurs collectifs  (Performeurs Urbains, avec Toufik Oudrhiri Idrissi).
Elle anime des ateliers d'écriture et de danse (Atelier Bleu au sein d'une école
maternelle parisienne, foyers de personnes âgées), et travaille comme assistante pour la Compagnie Mime de Rien. Elle fonde le collectif Freyja avec Léa Alazraki.


Patrice RIERA commence le théâtre à l’université de Toulon en 1997 et intègre la compagnie UPPERCUThéâtre (Toulon) dirigée par Laurent Zivéri.

Il poursuit sa formation (2003-2006) au conservatoire municipal Francis Poulenc (Paris 16ème) avec l’intervenant Stephane Auvray-Nauroy. En 2006 il joue pour de jeunes metteurs en scène dans «En attendant Godot» et «Premier amour» (Beckett), «Le Balcon» (Genet), Gibiers du temps» (Gabily).

En 2007, il propose ses mises en scènes et traductions de «Crave», «Phaedra’s Love» et joue dans «4.48 Psychosis» de Sarah Kane au Lavoir Moderne Parisien pendant un mois.

Cette même année, il met en scène «Le Monte Plats» d’Harold Pinter.

Depuis 2008, Patrice travaille avec le collectif Hubris en résidence à La Loge, comme comédien sur les spectacles «Happy Together», «Nova» (2011-2012), «Fusion» (2013) et «Les cowboys et les indiens» (2014 - Théâtre de Vanves) créés par Raouf Raïs. Il intervient également sur plusieurs projets en tant que créateur lumières et joue dans plusieurs court-métrages

Actuellement en répétition avec le collectif Freyja pour «Le crapaud» d’Andersen, il assure la création lumière de «Waterproof» en février à La Loge. Patrice est intervenant de clubs-théâtre auprès de l’association CEMEA dans plusieurs lycée d’Île de France.

Il joue dans «les nouveaux pharmakos» (en cours de création) par la compagnie La baraque liberté, mise en scène de Caroline Panzera (représentations au Théâtre du soleil en octobre et novembre 2015)







« LA SPEDIDAM est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées ».